Don d'Organes : consentement présumé ou explicite ? - Pour le Don d’Organes et de Tissus Humains
Nous rejoindre sur facebookNous suivre sur TwittreNous suivre sur LinkedinNous suivre sur InstagramNous suivre sur PinterestNous suivre sur YouTube

Don d’Organes : consentement présumé ou explicite ?

Au nom du pragmatisme, chaque société a le droit de promouvoir le modèle de consentement au don qui s’avère le plus efficace …

298

Au nom du pragmatisme, chaque société a le droit de promouvoir le modèle de consentement au don qui s’avère le plus efficace …

L’auteur : David Rodríguez-Arias Vailhen est professeur de Philosophie à l’université de Salamanque, Espagne.

Entre consentement explicite et consentement présumé se glissent deux modalités, selon le pouvoir accordé à la famille du donneur pour révoquer sa décision de don ou de refus : le consentement fort et le consentement faible.

Les arguments pour et contre le consentement présumé sont développés en terme d’efficacité, d’adhésion des populations, de protection des donneurs et de leur autonomie, de leur famille, et de confiance collective sociètale .

Dans la mesure où il peut difficilement être accompagné d’une information exhaustive pour tous les donneurs potentiels, ce que l’on appelle le consentement présumé n’a absolument rien d’un consentement.

Pièces jointes
Le document d’étude complet (.pdf, 80 Ko)

Revenir sur : Documents d'étude